Une journée qui n’avait pas la langue de bois. La rencontre entre le directeur général de la CNAMGS et le syna, il ressort une évidence. Un climat de confiance mutuel et apaisé.
Ce 24 octobre, ce rendez-vous, deuxième du genre entre les deux partenaires, aura permis de prendre la pulsion. Des mots, des attentes et des rappels. Discussion pluriel et un premier sentiment qui s’en dégage : la nécessité du dialogue, de la concertation et de la participation.
Un point essentiel était donc inscrit à l’ordre du jour, la mise en place d’un cadre de négociation paritaire avec pour membre les représentants de la direction générale et ceux de l’organisation syndicale syna-cnamgs. Pour son rôle, le principe en est simple. Il s’agira pour cette instance de négocier les termes de la convention collective soumis à la révision ainsi que les propositions de reclassement.
L’occasion était donnée au président du syna-cnamgs, Gaël Moussouda d’exprimer sa satisfaction et de saluer la promptitude en plus de la disponibilité du directeur général, Renaud Allogho Akoue avant de déclarer la levée définitive du préavis de grève lancé le 16 octobre dernier, tout en affirmant sa totale disponibilité et celle de son équipe pour entreprendre des négociations dans ce climat de confiance.
Il ne peut y avoir d’avenir sans le respect du capital humain. Tout le monde en est convaincu. Maintenant il faut des actes. Dans ce sens un cahier de doléances sera présenté à la direction générale dans les semaines avenir, pour examen et prise des mesures concrètes pour leurs mises en œuvre. Débats à poursuivre.
Édouard dure