Après son retrait de candidature en faveur du candidat du parti démocratique gabonais ( PDG), au compte des législatives du 6 octobre dernier, dans le 3 eme arrondissement de port gentil, Fred Bernard Mavougou leader du mouvement associatif Train d’union était ce mercredi 24 octobre, faire le point avec la marraine de ladite association, patience Dabany. Pour Fred Bernard Mavougou, c’est un puissant éclairage.
Au travers de cette rencontre, la volonté est de présenter sous tous ses angles, à la mère nationale le retrait de sa candidature au profit de celui du candidat PDG. L’occasion bien sûre de rappeler son attachement indéfectible à la politique du chef de l’État, Ali Bongo Ondimba.
Cette rencontre aura également permis des échanges entre une mère et un fils aux ambitions convergentes fondées sur l’investissement humain et le progrès social pour le bien être des populations.
L’enjeu était donc pragmatique et militant, non pas pour un parti politique mais pour la vision et la politique prôné par le chef de l’État.
Revoir la marraine de son mouvement associatif, se rappeler l’affection de la mère nationale, de celle qui l’a toujours accompagné, ce sont ces valeurs fondamentales sans lesquelles il n’y a pas de destinée qui ont été inculquées à l’ancien candidat indépendant de l’Inter génération et leader du mouvement Train d’union.
Fred Bernard Mavougou aura donc tout expliqué à la mère nationale au-cours des échanges. Depuis si longtemps qu’il essuie la haine, qu’il encaisse les coups, trahi par les uns , insulté par les autres , de ces amis d’hier qui appartiennent au passé. Mais sans la moindre reconnaissance des uns et des autres.
Avec patience Dabany, le leader de l’association Train d’union reviendra sur le chemin parcouru et celui à venir. De son soutien au chef de l’État lors des élections de 2016, de son retrait de candidature en faveur du candidat PDG pour le compte des législatives du 6 octobre dernier bien sûre. La chaleur et l’accueil était là. Et ce n’était pas un hasard, cette reconnaissance ne s’achète pas. Elle se mérite.
Ceci dit, l’avenir a besoin des hommes et des mains de courage. Et le Gabon n’en manque pas. A l’image de Fred Bernard Mavougou.
Jean 1er