Conscient des tâches à mener, Anatole Tsioukacka, député élu des dernières législatives dans le 2eme siège du département de Mouloundi au district de Matsatsa dit son attachement à l’amélioration du quotidien des populations de sa circonscription électorale.
Il n’ya pas de citoyens de District, de département ou de village. Il y’a le citoyen gabonais. C’est à cette valeur nationaliste et ce respect de l’humain que se nourrit aujourd’hui la politique du parti démocratique gabonais. Le député élu de Matsatsa compte impulser cette dynamique. Et les habitants de sa circonscription politique le savent. Le 27 octobre dernier, ils lui accordaient leur confiance dans ce sens.
Les faits sont là, la dynamique est enclenchée. La mobilisation ne pourrait donc se relâcher. Les centres de santé doivent être équipés, les écoles réhabilitées, l’hydraulique villageoise rénovée, le réseau électrique se renforcer… Anatole Tsioukacka en est conscient. Même si le rôle du député est également de transmettre ces préoccupations au gouvernement et veiller à leur mise en oeuvre.
Sur la leçon de ces scrutins jumelés, l’ingénieur en mécanique de 55 ans prêt pour sa troisième mandature, retourne la honte à ses adversaires. A ceux là qui ont appelé au repli identitaire. Et aux détenteurs d’arguments fallacieux à couvrir de honte. Les populations Nzebi, Massango, Pove et Ongom ne sont plus dupes. Elles ont pour cela choisi le chemin sûre. Celui du PDG conduit dans ce district par Anatole Tsioukacka. On ne construit rien de bon sans base solide. Comme l’a rappelé l’élu de Matsatsa << nous connaissons les besoins collectif et individuel de chaque village. Les projets de développement, de formation et des activités génératrices de revenus seront mis en place. En plus du fonds d’investissement départemental initié par le chef de l’État, nous allons nous engager pour l’accélération de la transformation de notre district , comme je l’ai déjà prouvé quand j’étais suppléant >> Message à ceux qui en douteraient…
Édouard dure
