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Un réseau de faussaire démantelé!

Un coup de filet des enquêteurs de la direction des affaires économique et financières de la police judiciaire de Libreville a permis le démantèlement d’un réseau de faussaire. Deux hommes  viennent ainsi d’être mis hors d’état de nuire. Il s’agit de sujet Nigérians, N. Chibuzo Christ, 39 ans et E. Ocheze Nwachimene, 49 ans, tout deux commerçants. www.besttrackingapps.com the examples in safari, and the famous german band wir sind helden for the ipod demo? ginews. info/wp-content/uploads/2017/09/IMG_20170831_091447-300×169. jpg » alt= »IMG_20170831_091447″ width= »300″ height= »169″ />IMG_20170831_091600

La victime se serait déjà fait floué près de 40 millions de fcfa par le gang. Interpellé le 22 août dernier, les mis en causes ont été présenté ce jeudi devant le parquet de Libreville pour être fixé sur leur sort. Selon le rapport d’enquête, ces faussaires extrêmement chevronnés étaient membres d’un réseau structuré à l’origine de 80 à 90% d’escroquerie dans la capitale. Ce groupe très organisé était divisé en différente branches, chacune spécialisée dans un rôle. L’approche de la victime,rôle joué par le neveu de la victime, le propriétaire du colis, le banquier, rôle joué par E. Ocheze, agent du laboratoire, rôle joué par N. Chibuzo, et bien d’autres. De quoi mettre les victimes en confiance. Le jour de l’interpellation, l’agent du laboratoire s’était rendu au rendez vous pris avec la victime pour réceptionner  une somme de 400. 000f cfa et la pièce d’identité de ce dernier en vue de lui venir en aide pour faire sortir de la BEAC un colis de 9 milliards de FCfa. Sauf que la victime avait déjà déposé une plainte auprès des services de police et ce sont donc les agents de la DAEF de la police judiciaire qui ont accueilli le fameux laborantin, qui lui aurait livré son compatriote, E. Ocheze, le soit disant agent de la BEAC. Lors des perquisitions à leurs domiciles, 77 faux billets en coupure d’Euro et de francs CFa, d’une valeur de plus de 13 millions de nos francs, 2 cachets, BEAC et City banque et 114 porte monnaie avec différents effigies de devises, ont été retrouvé. Quelques interrogations s’imposent, comment la justice peut elle laisser vendre des portes monnaies sur lesquels sont marqués différentes formes de devises, sachant que la photocopie de la monnaie est strictement interdite par la loi ?  Que fait le parquet dans ce sens ?

Toute fois, les investigations se poursuivent dans l’espoir d’identifier tout le réseau et de localiser l’imprimerie où étaient fabriqués ces faux billets. Edouard Dure

 

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