Entre l’Arabie saoudite et le Gabon, les relations sont au beau fixe. Le chef de l’État était à Riyad pour prendre part au sommet islamique arabo-americain organisé du 20 au 21 mai dernier. La lutte contre le terrorisme était au centre du débat.
La recrudescence des groupements terroristes impose à tous une nécessaire responsabilité. Qu’ils aient pour nom Aqmi, Daech, ou Boko haram, le fanatisme djihadistes peut frapper n’importe où et à tout moment. Cette rencontre de Riyad entend donc se définir comme un front commun contre l’idéologie extrémiste, violente, dans l’intention de vaincre le terrorisme. L’enjeu ici est d’importance. Il s’agît de rechercher les voies et moyens en vue de la création d’un nouveau partenariat pour lutter contre l’extrémisme, favoriser la promulgation des valeurs commune de tolérance et promouvoir la sécurité, la stabilité et la coopération pour un présent et un avenir pour nos peuples.
Pour Donald Trump, président des états unis, il s’agit » d’une bataille entre criminels barbares qui essaient d’anéantir la vie humaine et les gens bien et de toutes les régions qui cherchent à les protéger. « Implication similaire pour Ali Bongo qui depuis a mis au centre de sa politique internationale, la nécessaire collaboration entre les services de renseignements. Stratégie vitale si l’ont veut contrer, tant soit peut, la capacité de nuisances de cette nébuleuse terroriste
A noter qu’en marge du sommet, le président de la république c’est entrenu avec une délégation d’hommes d’affaire russo- saoudien. Les échanges ont permis de faire le point sur le projet de construction, du barrage hydroélectrique aux chutes de tseguemleleli, dans la province de l’Ogooué Ivindo.
Nathan Moore
