Après le verdict de la Cour pénale internationale qui a considéré, jeudi 6 juillet, que Pretoria avait manqué à ses obligations en n’arrêtant pas sur son sol Omar el-Béchir, poursuivi pour génocide au Darfour, l’Afrique du Sud a réagi. Le président soudanais était présent à Johannesburg à un sommet de l’Union africaine en juin 2015. Et bien que signataire du Statut de Rome, l’Afrique du Sud ne l’avait pas arrêté. Le gouvernement a indiqué avoir pris note du verdict. Il a cinq jours pour éventuellement faire appel.