L’opportunité de cette foire agricole Akandaise qui s’achève ce 1 et août est d’offrir une plate forme d’explication au gouvernement pour son programme en vue de l’amélioration du secteur agricole.
Retour donc à cette foire qui était loin de se limiter au seule discours, mais apporter un éclairage particulier sur le travail de la terre.
Le choix n’est donc pas anodin pour IDRC Africa avec son partenaire. L’agriculture représente aujourd’hui 45% d’investissement du budget du pays. Sur ce constat que des stratégies ont été adapté aux besoins.
Le double objectif ici est d’emmener les populations gabonaises à s’investir dans l’entrepreneuriat qui reste une piste indéniable pour la diversification de notre économie. Et aussi rendre accessible les produits pour permettre le pays de tendre vers l’autosuffisance alimentaire.
Ces hommes et femmes venus exposés travaillent en famille, mais aussi en association, en collectif, en coopérative. A la visite de leurs stands , ils ont ainsi eu l’occasion d’évoquer leurs engagements, leurs liens à la terre.
De la couleur des fruits, des produits transformés, boisson à base de fruits, de sirops, confitures artisanales… Leur procure des sourire et de la fierté.
Générer de l’emploi et participer au rebond de l’économie, comme toutes les associations, organisation non gouvernementale ne cessent de le répéter, il n’y a pas d’avenir pour une nation qui écarte la terre dans son programme de développement économique.
En définitive ces initiatives doivent interpellé le gouvernement et les inciter à prêter d’avantage d’attention aux petites structures agricoles. Apporter son soutien à ces coopératives apparaît primordial pour faire progresser l’autosuffisance alimentaire dans un pays en quête de compétitivité et de redynamisation de son économie.
Jean 1 er
