Des actions entreprises entre l’État, le patronat et les travailleurs. La conviction qu’une solution pour un meilleur être des personnes retraitées doit se trouver « ensemble ». Il est toujours utile de revenir à l’essentiel à mis parcours.
Une société se construit dans la reconnaissance de tous et dans la conscience mutuelle d’un temps pour tout. Tel, les études, le travail et la retraite. Une société qui donne la chance et reconnaît le mérite lucide du travailleur et pour comprendre qu’à la retraite il doit vivre dans de très bonnes conditions.
Ces travaux qui se poursuivent sont donc une confirmation de la conviction et de la poursuite nécessaire des efforts engagés par le gouvernement. Certains points et non les moindres sont en négociations. Ils demandent cependant un nouvel élan du patronat et des ré-ajustages par l’état.
A commencer par la durée de travail. Les salariés optent pour que se soit de 60 à 62 ans et qu’il ait une spécificité sur les métiers de pénibilité afin de permettre à ces travailleurs d’avoir une retraite anticipée. C’est-à-dire une retraite avant 62 ans. Le taux de remplacement qu’il passe de 40 à 60%. La durée des cotisations qu’elle soit maintenue à 20 ans au lieu de 25 ans et le plafond à 3 millions contre 2,5 millions proposé par l’état.
Le patronat quand à lui entend se retrouver pour examiner les propositions des syndicalistes et celles de l’état afin de proposer à leur tour une solution pérenne et responsable.
Toutefois il serait bon que ces réflexions soient objectives. Qu’elles soient contradictoires ou proches parentes pas d’importance. Mais qu’elles en viennent à l’essentiel. Dans le sens de la valorisation des pensions retraites des travailleurs. Le rendez-vous est donc pris pour ce 10 novembre, date de la clôture desdits travaux.
N.M