Le 4ème arrondissement de la commune de Libreville a réaffirmé son soutien et la nécessité de travailler ensemble avec Jean de Dieu Moukagni Iwangou, président de l’Union et solidarité. C’était le samedi dernier lors de la cérémonie de prestation de vœux au président dudit parti politique.
Lors de son mot de circonstance, Jean de Dieu Moukagni Iwangou l’a entériné « Au regard de ce niveau de mobilisation nous allons relancer nos activités au 4eme. Nous irons donc auprès de l’habitant indiqué notre havre politique, les valeurs qui charpentes notre actions, de sorte a le convaincre de nous rejoindre. Nous irons de proche en proche, dans tous les foyers mobiliser autour de nos idéaux les populations de Libreville ».
Depuis le président de l’US a mis au centre de sa politique la nécessaire collaboration de tous. Stratégie vitale si l’on veut conquérir le terrain pour les échéances avenir. Conscient de cette réalité et le dynamisme que fait montre le 4ème arrondissement, le président de l’US a annoncé la relance du terrain dans cet arrondissement.
La réaction est immédiate. Comme un seul homme les populations du 4ème arrondissement de Libreville chapeauté par le délégué US, Constant Oyono ont dit oui…
Et les mots prononcés par Constant Oyono sont très révélateurs de cet état d’esprit « La mobilisation de ce jour est un signal fort de notre engagement à vos côté et un acte de gratitude à l’écoute et à l’attention que vous portez aux militants de notre parti. Votre attitude est pour nous une source supplémentaire de motivation et de mobilisation tout azimut.
Convaincu que nous sommes dans la pertinence de votre vision, de votre projet politique qui place le citoyen gabonais au cœur de votre action. Notre parti sera et demeurera ce creusait pourvoyeur de réflexion féconde, une force de suggestions et de contribution. Je réitère ici que notre soutien vous est déjà acquis »
Les mots dans l’immédiat et la détermination à l’action. Avec Constant Oyono, à l’Union et Solidarité, les populations du 4eme arrondissement ont déjà choisi leurs camps.
Edouard Dure
