Faire le point sur les capacités financières nécessaires de la Redevance d’Usure de la Route ( RUR) en vue d’entretenir le réseau routier était l’objet de la rencontre entre le ministre en charge des transports, Léon Armel Bounda Balonzi et le groupement professionnel des pétroliers ( GPP) le 2 novembre dernier.
L’état a mis en place la redevance de l’usure de la route ( RUR) comme moyen de financement du fonds d’entretien routier, afin de garantir une ressource pérenne pour entretenir régulièrement cette dernière.
Cette redevance est indexée sur les prix des carburants. Soit 40 fcfa/ litre de carburant qui est donc reversé à l’état dans le cadre de la RUR.
La rencontre entre Léon Armel Bounda Balonzi, ministre en charge des transports et le RPP collecteur de la dite redevance à donc tout son sens.
Il a été question lors de cette rencontre de faire le point de la collecte de la RUR. De mettre sur la table les differrents problèmes rencontrés lors de cette collecte, les besoins ainsi que les urgences y afférentes.
Et trouver des solutions, des moyens permettant de répondre au mieux aux attentes de l’état.
La Redevance d’Usure de la Route a pour mission principale d’assurer un flux stable de financement pour l’exploitation et l’entretien des routes.
D’ou la nécessité a rappelé le patron des transports, que la RUR soit gérée selon de saines pratiques, avec des procédures transparentes de décaissement, un contrôle financier et un audit technique permanent.
Jean 1er
