Le 01juillet 2022 dernier, le porte parole de la présidence, Jessy ELLA EKOGHA, a animé une conférence de presse dans l’optique d’apporter des éclaircissements aux multiples interrogations au bout des lèvres des populations gabonaises.
Lors de cet énième compte rendu, le conseiller spécial du chef de l’État chargé de la communication présidentielle, faisait face aux membres de la presse devant qui, il est revenu sur quatre (4) événements qui ont défrayé la chronique sur le plan national et international.
S’agissant des points à l’ordre du jour, le porte parole a notamment abordé l’adhésion du Gabon au commonwealth puis le décaissement des fonds de la part du FMI, par la suite il s’est appesanti sur la situation politique nationale, pour finir avec la situation épidémiologique du pays.
L’ adhésion du Gabon au commonwealth le 25 juin dernier est un tournant majeur pour notre pays, à en croire Jessy ELLA EKOGHA << le Gabon est entré pleinement dans le 21e siècle en adhérant au commonwealth. Ce n’est pas un choix par dépit, ni un choix par défaut>> affirme t-il tout en indiquant que << le président de la république Ali BONGO ONDIMBA est de la trempe des grands hommes qui ne se résignent jamais>>
Afin d’améliorer les conditions de vie de ses compatriotes, le président de la république reste ouvert au dialogue et aux propositions c’est dans ce cadre qu’il a récemment accordé une audience à l’ancien ministre Charles MBA qui séjourne actuellement au Gabon.
Face aux moments critiques que connaissent aujourd’hui les institutions sociales de notre pays, des réformes ont été amorcées dans le but de remettre en l’état la caisse nationale de sécurité sociale ( CNSS ) ainsi que la caisse nationale d’assurance maladie et de garantie sociale ( CNAMGS ) dont le directeur général annonçait l’épurement de la dette auprès des structures hospitalières.
Avant de passer à la phase questions réponses, le porte parole a tenu à revenir sur la flambée des cas de contamination à la covid-19, << s’il arrive que la situation épidémiologique du pays devienne alarmante, l’État prendra ses responsabilités>> a conclu le conseiller spécial du chef de l’État.
Wilfried ALLOGO