Après la visite du messager du chef de l’État à Makokou, l’Ogooué Ivindo réaffirme son soutien au président de la république et la nécessité de construire la province tous ensemble.
C’était au cour d’une réunion entre les fils et les filles de l’Ogooué Ivindo , le vendredi 4 septembre dernier après un bilan jugé positif , du passage du DCPR en terre ogivine que les membres du gouvernement ressortissant de ladite province ont invité les uns et les autres à s’unir pour le développement de la province.
Au-cours de son passage à Makokou, Brice Laccruche Alihanga a appelé lors de son message à la nécessaire collaboration entre les fils et les filles de l’Ogooué Ivindo. Stratégie vitale si l’on veut contrer l’esprit d’égoïsme, d’intérêt personnel qui empêche le développement de ladite province.
Conscient de cette réalité, les ministres Rigobert Ikambouayat Ndeka et Alain Claude Bili by Nze, ont initié cette consultation pour créer une dynamique susceptible de conduire le G6 vers la solidarité de l’époque et son développement. Les mots prononcés alors par les intervenants étaient très révélateurs de cet état d’esprit.
Dans son interview , le ministre Rigobert Ikambouayat Ndeka revient sur les grandes lignes de la rencontre. » le messager du président de la république a été chaleureusement bien accueilli avec toute la manière ogivine qu’elle soit, au delà des difficultés réelles liées au développement de la province.
Au cours de la visite, des besoins ont été émis par la population,parmi lesquels la réhabilitation des infrastructures majeurs tels que les routes,les établissements scolaires, le centre hospitalier régional… mais aussi l’emploi pour les jeunes.
Suite à ces préoccupations, une méthode de travail a été jugée nécessaire pour non seulement unir les forces des ogivins,mais aussi d’interroger les intelligences pour bâtir et mener à bien la politique dans l’Ogooué-Ivindo,et contribuer à l’éclosion et au développement de la province et ses ressources en améliorant les infrastructures éducatives, hospitalières, routières, sans oublier l’emploi des jeunes.
Au regard des avis des uns et des autres, les natifs de l’Ogooué-Ivindo trouvent utile de mettre en place une coordination provinciale avec tous les départements confondus pour traiter des sujets les concernant » a t-il expliqué. Les mots qui révèlent la détermination à l’action. C’est un choix . Et les Ogivins tous ou presque ont choisi leur camp.
Seulement il y’a certes des populations qui aiment à trop passionner les débats, de parler de tout ou rien dans les réseaux sociaux. C’est à tort. Mais si l’on veut développer la province , il faut élever le débat et quitter le champs passionnel ou clanique. Que les Ogivins mettent de l’énergie à analyser et trouver les bonnes solutions pour leur province. Ce climat de clan et de passion ne sont pas bon pour le développement de l’Ogooué Ivindo.
Clémy