Depuis quelque temps, Constant OYONO, le Fondateur respecté du Groupe IHEM INTERNATIONAL, se trouve au centre d’une controverse émanant d’accusations troublantes publiées par un confrère, journaliste, Brice Ndong. Des allégations mensongères de profanation de tombes, escroquerie et violence sont dirigées contre cette personnalité émanant curieusement de membres d’une famille avec laquelle il avait cultivé des liens fraternels. Ces liens avaient été nourris par son soutien inébranlable, apportant une aide substantielle après même la cession de ladite parcelle moyennant un accord préétabli.
Une question pertinente se pose : pourquoi ces accusations surgissent-elles maintenant, près de 16 ans après l’acquisition du terrain en question, où le président du groupe IHEM est désormais détenteur d’un titre foncier ? Plus troublant encore, pourquoi certains individus notamment un neveu et un petit fils du propriétaire tous deux semblent t’ils désœuvrés, demandent désormais une compensation financière sous prétexte de chasser des âmes errantes dans cette parcelle ?
Constant OYONO, a d’ailleurs effectué des grands travaux sur cette parcelle, le bâtiment qui sert de référence à cette zone dite Maison Blanche en témoigne de son sens de responsabilité. Et en tant que respectueux père de famille et responsable d’établissement, le Dr Oyono est réputé pour inculquer des valeurs honorables autour de lui. Malgré cela, il se retrouve curieusement diffamé et injurié sur les réseaux sociaux. Ces attaques injustifiées mettent en lumière la complexité de la situation, surtout dans un pays comme le Gabon, où les droits de chacun devraient être respectés à tous les niveaux de responsabilité.
Cette affaire soulève des questions sur la véracité des allégations et la motivation derrière ces attaques. Le Groupe IHEM INTERNATIONAL, sous la direction du Dr Constant OYONO, a toujours été un pilier de la communauté, promouvant l’éducation et l’intégrité. Il est impératif de suivre attentivement l’évolution de cette affaire pour comprendre pleinement les enjeux et assurer une justice équitable pour toutes les parties impliquées.
La situation actuelle nécessite une évaluation approfondie et équilibrée des faits, en respectant le principe fondamental de la présomption d’innocence. La haine, la joulousie, la xénophobie, la diffamation sont des comportements condamnable dans notre société.
Restons vigilants quant à l’évolution de cette affaire et à ses implications potentielles pour toutes les parties concernées au moment où le parquet de Libreville a déjà été saisi par le Dr Oyono Ebang Constant pour diffamation, violation de la propriété dautrui, atteinte à l’intégritéphysique et morale, incitation à la violence et à la haine…
Jean 1er