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Infrastructures routières : un séjour togolais enrichissant pour Léon Armel Bounda Balonzi !

Le réseau routier a fait l’objet d’une attention particulière, au Togo pour le ministre gabonais en charge des infrastructures, Léon Armel Bounda Balonzi. Introduit par l’Ambassadeur du Gabon au Togo, Saïd Abeloko et ses collaborateurs stratégiques, le membre du gouvernement gabonais a été reçu par son homologue, Zouréatou Tchakondo-Kassa Traoré, la Ministre togolaise en charge des transports et des infrastructures avant une visite de terrain.

Lors de sa récente visite au Togo le ministre des Transports, de l’Équipement, des Infrastructures, et de l’Habitat, Léon Armel Bounda Balonzi pose ses mots et sa volonté « J’ai été fortement impressionné par la capacité opérationnelle d’une Entreprise africaine. Et, je voudrais saisir cette occasion pour pouvoir approfondir avec ma collègue, un partenariat pour que nous apportions des solutions aux routes africaines. Et c’est une belle occasion pour moi d’avoir vécu, je dirais en live, ce que j’ai vu ici. Les capacités de cette Entreprise qui se déploie depuis un certain temps, au niveau du Togo et dans d’autres pays africains » a-t-il déclaré.

Attention particulière, tout comme lors de la visite des différents Sites opérationnels des travaux de réhabilitation et de bitumage du tronçon de la Nationale N°3 partant de Lomé à la ville touristique de Malindé.

Les travaux sont de qualité et ils avancent. Lancé le 17 juin 2020, cet ouvrage de 120 km a 3 années pour sa réalisation et 214 milliards de francs Cfa pour son financement.

La mise en oeuvre des travaux est assuré par l’expertise d’une Entreprise africaine dénommée EBOMAF, sous la supervision de la Direction générale des BTP.

Mais au delà de la visite des chantiers routiers, l’attention portée par Léon Armel Bounda Balonzi laisse clairement apparaître son soucis de réaliser des travaux de qualité dans notre pays. Avec cohérence dans la conduite des chantiers dans le respect du cadre légal et technique.

L’exemple est symbolique. Éclairage, aménagement des trottoirs, circulation réservée aux transports publics. Au Gabon, les routes doivent répondre aux principes du smartcode, modèle international de développement urbain.

Ce séjour togolais s’inscrit dans ce sens. Tout comme l’intérêt qu’il entend porter aux infrastructures routière gabonaise. Accessibilité et fonctionnalité.

Clemy 

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