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DGBFIP : la dynamique est enclenchée

Le président du Comité de Transition pour la restauration des Institutions a pointé les vraies urgences, les vrais défis. La mobilisation de tous les acteurs ne peut plus attendre. Institutionnels, Membres du gouvernements, directeurs généraux, société civile, tous sur le terrain ,chacun selon ses missions.

Depuis qu’il a pris les rênes de la Direction Générale du Budget et des Fnances Publiques, Aurélien Marcel Mintsa Mi Nguema, tient une inébranlable certitude. Il n’est pas un passé aussi sombre soit -il qui puisse empêcher la lumière de revenir. Lors de sa prise de fonction, il a clairement affirmé vouloir donner cette nouvelle impulsion qui cadre avec celle voulue par le CTRI à cette direction générale. Le Gabon vit un tournant politique et économique décisif.

L’amélioration des conditions de vie des populations, la restitution des institutions, l’assainissement des finances publiques sont prioritaires. Un sujet sur lequel il partage les vues du président de transition, le général Brice Clotaire Oligui Nguema est de mettre en place une politique qui prône et qui veille sur la bonne gestion des finances publiques, pour que chaque centime sorti des caisses de l’Etat, soit utilisé à bon escient.

La descente dans le Woleu-Ntem, la Ngounie et le Moyen Ogooue, d’une forte délégation de cette Direction, conduite par le DG en personne, qu’accompagnaient certains opérateurs économiques impliqués dans l’exécution des chantiers lancés par les plus Hautes autorités de la Transition s’inscrit dans cette logique.

Suivre la bonne exécution des marchés publics en effectuant des visites périodiques et inopinées des chantiers et de suivre la livraison des fournitures, services et des matériels en cours de fabrication; S’assurer le contrôle de l’exécution technique et financière et la conformité des réalisations par rapport aux marchés conclus, font entre autres parties des missions de la direction générale du Budget.

Cette descente de terrain du directeur général afin de toucher du doigt ce qui se fait et de mieux évaluer les contours du bon déroulement des chantiers participe d’une même cohérence à ses missions.

Plusieurs fois dans notre pays des projets financés se sont retrouvés non réalisés, ou sous forme d’ éléphants blancs. Il y’avait donc urgence de mettre à la DGBFIP la personne qu’il faut à la place qu’il faut, au centre de toutes les actions, de toutes les décisions. Se fixer des objectifs à 6 mois, à un an puis ne pas les réaliser ne correspond pas à la vision du CTRI .

Si certains font leur petit commerce sur la revanche et l’envie, mesquineries en tous genres, il est des gabonais sourds à ces sirènes de bas étage. Mettre en doute les qualités et le cursus du Directeur général du Budget, pour ne voir que sa parenté avec le Président de la Transition ?
Il est temps que ces faux discours et les fausses apparences laissent place à l’essentiel. Les aiguilles ont tourné et les populations en ont conscience.

Pour en revenir une fois pour toutes aux choses vraies. Aurélien Marcel Mintsa mi Nguema présente un cursus respectable et respecté. Cet diplômé de l’Ecole Normale d’Administration de Paris, promotion Aimé Césaire est également diplômé en Droit Économique et Gestion. Expert de la Banque Mondiale en Administration Publique, il a été responsable de la haute administration française et européenne.

On ne construit rien sur ces sentiments nauséeux. L’avenir a besoin de mains et de courage. Et le Gabon n’en manque pas à l’image d’Aurélien Marcel Mintsa mi Nguema.

Jean 1er

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