Le cheminement normal d’une existence. Depuis 1960 tant de choses ont été écrites dans les anales du Gabon…. Et l’histoire doit continuer.
Très tôt au bord de mer, à la place de l’indépendance des militaires, des policiers , des voitures de l’armée et des populations venues assister à la traditionnelle parade militaire, comme chaque 17 août. Il en est ainsi depuis toutes ces années. Des générations l’ont vécu, et d’autres le vivront.
A la tête du pays, le chef de l’État, Ali Bongo Ondimba a décidé de donner à la date d’anniversaire de l’indépendance du Gabon toute sa place. Après plusieurs mois d’absence autour des événements populaire, le président de la république est arrivé à bord de son véhicule de commandement à la tribune officielle du bord de mer, et accueilli par Madame le Ministre de la Défense Nationale, Monsieur le Gouverneur Militaire de la Place de Libreville ainsi que par son Chef d’État-major Particulier , avant de recevoir les honneurs militaires des Forces de Défense et de Sécurité dans la pure tradition républicaine.
La cérémonie, relayé par la presse nationale et internationale ne passe pas inaperçu. C’était une joie immense pour les gabonais de voir leur président autour d’eux pour célébrer l’indépendance.
Au delà du patriotisme, les gabonais avaient besoin de voir leur chef pour être rassuré sur sa disponibilité à poursuivre la destinées du pays.
C’est du baume sur le cœur que les populations ont donc pu suivre les parades pédestre, aérien et motorisé des différents corps des Forces de Défense et de Sécurité dans un contexte où un accent particulier a été mis sur les multiples responsabilités qui incombent à ces Forces de Défense et de Sécurité dans le cadre de la consolidation du vivre ensemble et de la construction d’un Gabon toujours plus fort uni et solidaire.
Instant de convivialité autour de valeur commune loin des clivages politiques et régionaux afin de partager ensemble ce patrimoine commun qu’est le Gabon. Et dont les forces de défenses et de sécurités jouent un rôle important reposant autant sur la protection et la défense du territoire national, que sur celui relatif au maintien de l’ordre, à la paix, à la sécurité et au développement.
Jean 1er
