La problématique de la route reste plus que jamais une priorité nationale, mais il convient de lui trouver des objectifs réalisables au regard des contraintes techniques et économiques. Près de 5 millions de francs sortiront de la poche de paskhal Nkulou pour mener à terme son projet.
Sur les lieux , au quartier Ondongo désert , dans le 6 ème arrondissement de Libreville, la société commise pour les travaux est à pied d’œuvre. Caterpillar, camions de terre, pioches, pelles sont en mouvement pour mettre en exécution la première phase des travaux. Ici l’initiateur du projet évoque la livraison de cette voie secondaire dans les jours avenir ainsi que quelques problèmes d’adduction d’eau et d’électricité à solutionner au travers de l’installation d’une cuve. C’est déjà 500 kilomètres de linéaires de route viabilisé qui devraient être livré.
Des perspectives à moyen terme se dessinent à Ondongo désert enfin. Deux semaines de travaux sont prévus pour la livraison du chantier. Lors de sa visite sur le site, l’initiateur du projet insistait encore sur la nécessité de tenir les délais. Si l’état a reconnu ses faiblesses dans sa sa politique routière, Paskhal Nkulou mériterait donc un regard particulier. Tant au niveau du ministère en charge des travaux publics que des populations issues de cette zone. La hauteur du projet est à féliciter.
N.M
