Dans un contexte particulier de lutte contre la Covid-19, que le ministre de l’économie et des Finances, Jean Marie Ogandaga a échangé le 2 juillet dernier par visioconférence avec le président du club de Paris,Guillaume Chabert. Des échanges nécessaires et de partage des données évolutives de la situation conjoncturelle du Gabon.
Jean-Marie Ogandaga ne cesse de défendre les intérêts du pays. Dans ce sens il est sur tous les fronts. Avec le président du club de paris, il était question pour le patron de l’économie gabonaise de faire le point sur le souhait du Gabon pour le rééchelonnement de sa dette vis-à-vis du club de Paris.
Il s’est également agit pour les deux personnalités de discuter sur les évolutions récentes de la conjoncture nationale, ainsi que des actions menées par le gouvernement dans la lutte contre la propagation de l’épidémie en cours.
Cet échange intervient dans le cadre du dialogue permanent qu’entretient le ministère de l’Economie et des Finances avec la communauté financière internationale et surtout après que Plusieurs pays industrialisés et institutions financières internationales regroupés autour du club de Paris, travaillent à l’allègement de la dette des pays africains ravagés par la crise de la covid-19 afin de donner un nouveau souffle à leurs économies.
Le dossier Gabon étant sur la table de l’institution financière où il a été examiné le 17 juin 2020, dernier. Guillaume Chabert, responsable du Club de Paris et particulièrement du dossier Gabon a donc pris le soin au travers cet entretien de faire le contour de cette dernière réunion avec le ministre des finances. « Il nous fallait un retour pour que nous soyons fixés si nos créanciers membres du Club de Paris ont accepté ou bien ont ouvert la porte, pour que nous puissions avoir un calendrier de discussion avec chacun de ces créanciers. Et que l’on revoit comment est-ce que désormais la dette sera payée et sera rééchelonnée », a expliqué Jean Marie Ogandaga
Clemy
