Depuis son arrivée , Mathias Otounga Ossibadjouo a apporté une nouvelle dynamique au ministère de la décentralisation, de la cohésion et du développement des territoire. Ces échanges réguliers ont permis d’aboutir bon nombre de dossiers. Mais le membre du gouvernement veut plus encore.
Dans sa stratégie de travail, Mathias Otounga Ossibadjouo a choisi de multiplié les pistes. Message pleinement reçu, les relations avec ses partenaires ainsi qu’avec ses administrés se sont donc intensifiées.
Après sa passation de charge, le ministre venait à procéder un état de lieu pour savoir ce qui a été fait et ce qui est à faire. Quelques jours plus tard, il est auditionné à l’Assemblée nationale devant la commission des finances dans le cadre de la loi de finances. Rencontre pragmatique, le ministre et les parlementaire ont des objectifs partagés.
En l’espace de 4 jours, Mathias Otounga Ossibadjouo reçoit le représentant du PNUD au Gabon. Les échanges sont portés sur la décentralisation et les perspectives de la cohésion et du développement des territoires au Gabon.
Au travers les dates son pragmatisme et son sens du devoir accompli se traduisent clairement. Le 21 novembre, il s’entretient avec une délégation Marocaine conduite par son excellence Abdallah Sbihi, Ambassadeur du Royaume chérifien au Gabon et Saotome et Principe. Les questions relatives à la coopération bilatérale et aux relations entre le royaume et l’État gabonais étaient au centre des échanges.
Pour mener à bien son programme d’action instruit par les plus hautes autorités, il a donc finalisé l’élaboration du texte organique du ministère puis l’a transmis au secrétariat général du gouvernement.
Le 27 novembre, cette fois, le ministre organise une séance de travail avec les techniciens du ministère de l’économie et des finances dans le cadre de l’operationnalisation du projet annuel de performance ( PAP).
Cette fois encore, le 12 décembre , Mathias Otounga Ossibadjouo encourage vivement ses hôtes chinois reçu en audience à s’intéresser à son département ministériel. Notamment dans le cadre de la coopération décentralisée, du renforcement des capacités et de l’accompagnement entre autres. Le ministre et le chef de la délégation de l’association du peuple chinois pour l’amitié avec l’étranger, Lin Yi ont leurs arguments propres, et de se dialogue équilibré l’amitié se nourrit.
Sa dernière rencontre avec la presse n’est pas gratuite non plus, partager sa vision, celle qu’il ambitionne pour son département ministériel qui jusque là tient la route. Mais Mathias Otounga Ossibadjouo veut encore mieux…
Édouard Dure