Les employés de la société gabonaise des jeux et des loisirs ( sgjl), ex fortune’s club ne veulent plus de la reconduction des membres du bureau actuel du syndicat des travailleurs de fortune’s club ( SYTRAFOC). Pour eux, le bureau dirigeant du syndicat ferait fi des inquiétudes sur les maux qui minent cette entreprise de jeu. Selon une note parvenue à notre rédaction.
Il faut les retirer. C’est ainsi que se résume l’essentiel du message des employés du fortune’s club.
<< Le comportement compatissant du SYTRAFOC envers la direction générale laisse perplexe et indigne les employés>> disent-ils. La note relate que le bureau du syndicat des employés de ladite structure est illégitime selon la nouvelle charte des jeux et des machines à sous mis en vigueur depuis 2 ans. << Or à ce jour les membres illégitimes du syndicat des travailleurs de fortune’s club n’ont pas toujours renoncé d’assurer et d’assumer leurs rôles dans ce syndicat alors que la nouvelle convention est en vigueur depuis 2 ans>>.
Les travailleurs comptent désormais faire pression sur la direction générale pour la destitution du bureau actuel et l’application stricte de la loi en menaçant de saisir la confédération syndicale gabonaise et d’avertir pour une éventuelle grève générale dans toutes les structures des jeux fortune’s.
Certaines actions avaient déjà été engagé notamment l’appelle des travailleurs dernièrement à l’endroit du personnel élu en mis juin 2018 à ne plus reconduire l’actuel secrétaire général et ses acolytes qui sont accusés de jouer le jeu de la direction générale.
Entre autres griefs, les employés reprocheraient au syndicat de laisser passer, le non versement des cotisations CNSS, les licenciements abusifs et arbitraires, l’annulation de l’épargne scolaire et l’assistance décès, la suppression du retour des congés et bien d’autres.
C’est donc dire qu’au fortune’s club, le ras le bol est perceptible et l’odeur d’un mouvement d’humeur plane sur cette structure des jeux, si rien n’est fait.
Édouard dure