Trois journée ouvertes aux cultures de tous les âges et de toutes les contrées. Cette édition 2017, placé sous le thème » le rôle des femmes dans la sauvegarde et la transmission du patrimoine culturel immatériel pour la paix et le développement durable « , ne fait aucune fosse note. La portée était parfaite. Of the three, different from college paper.org is by far the winner on the ngram viewer.
C’est justement la philosophie de ce thème que les différentes activités de la journée entendaient partager. Ouvrir cette grande boite du monde culturel, faire découvrir les rites et traditions, d’ici et d’ailleurs, d’hier comme d’ aujourd’hui. Ce sont 3 jours de rencontres , d’ateliers, de découvertes de savoirs, de jeux et de contes traditionnels de divers cultures. que le programme a mis du 19 au 21 mai 2017. L’objectif premier de cette journée est d’encourager chaque communauté à être fière de sa culture, de la préserver en tant que vecteur de croissance et de développement mais également inviter l’ensemble des cultures du monde au respect de cette diversité. Le ministère de la culture à part , le musée national, le mess mixte des armées, le village Oyenano ont ainsi vibré au rythme des manifestions. Rapprocher les différentes cultures, ce sera par la leçon sur le » rôle des femmes dans la transmission et la sauvegarde du patrimoine immatériel pour la paix et le développement » à l’image de cette matinée inaugurale au ministère de la culture. Ou bien avec cette rencontre avec les grandes mères venues de tous les horizons. La sortie des masques, l’exposition des savoirs( thérapeutique, alimentaire, d’art plastique) et de la nuit des traditions. Diversité de cultures et rencontre de générations. » Nos différences et notre diversité nous rendent plus fort. le respect de diversité culturelle est essentiel pour favoriser le dialogue interculturel, le développement durable et la paix » disait Irina Bokova, directrice de l’UNESCO. Trois belles journées donc, avec des ateliers dirigés par des spécialistes à l’image des tables rondes que conduisaient le docteur Rosalie Ngoua et Ludovic Obiang, ou encore cette plongée dans l’univers religieux ( musulmans, catholiques, évangéliques, alliance chrétienne). Aujourd’hui ils sont plusieurs à s’y intéresser à la diversité culturelle. De tout les âges, de 6 à 77 ans parfois. La culture n’est pas un art solitaire, elle est l’ensemble des connaissances des savoirs faire, des traditions, des coutumes. Et se transmet socialement de génération en génération et non par l’héritage génétique. Et Libreville l’a bien démontré. CLEMY.
