Dans un climat médiatique tendu, le Dr Constant Oyono Ebang, Président-Fondateur du Groupe IHEM International, est la cible d’accusations graves portées par un certain journaliste citoyen. Alors que ce dernier prétend que le Dr Oyono Ebang aurait profané des tombes lors de l’acquisition d’un terrain il y’a 16 ans, dans lequel aujourd’hui se trouve son nouveau campus de Libreville, le Dr Oyono Ebang dénonce ces allégations comme infondées et orchestrées dans le moyen de nuire à sa réputation. Cette affaire soulevée à laquelle s’ajoute des présumés faits d’agression portés par le même journaleux, soulève des interrogations dans l’opinion et des questions essentielles sur l’éthique journalistique et la responsabilité des médias dans la diffusion d’informations.
Le Dr Oyono Ebang a fermement nié avoir découvert des tombes sur la parcelle en question. « Lors de l’acquisition, aucune tombe n’était visible. Les anciens propriétaires, ayant déjà perçu 40 millions de FCFA, tentent maintenant de me soutirer davantage », a-t-il déclaré. Il souligne que ces propriétaires n’ont réalisé aucune avancée concrète depuis leur transaction de 2009 et 2016.
Concernant les accusations de profanation de tombes et d’agression envers un journaliste, le Dr Oyono Ebang s’étonne. Il a précisé : « Je n’ai jamais menacé quiconque, ni défié l’autorité publique ». Il a, au contraire, respecté les convocations de la Direction Générale des Renseignements (DGR) et s’est rendu à leurs bureaux avec son avocat après avoir été joint par téléphone.
De cette affaire, le Dr Oyono Ebang évoque une possible conspiration en bande organisée visant à nuire à sa réputation : « Il semble qu’il y ait une volonté manifeste de saper mes intérêts ». Il remet en question les motivations du gratte-papier, qualifiant ses actions de « fantasme » en quête de notoriété et de financement.
Sur la question de l’incident avec le journaliste en question, le Président-Fondateur précise que ses enfants ont surpris le journaliste en train de prendre des photos de la parcelle sans autorisation, ce qui a conduit à une situation tendue. « Il n’a jamais été agressé par ma famille », insiste-t-il, soulignant que le journaliste cherchait simplement à se faire remarquer.
Le Dr Constant Oyono Ebang appelle à une prise de conscience sur le rôle des journalistes. Selon lui, un bon journaliste doit s’engager à informer le public de manière objective, respectant ainsi les principes de déontologie. Face aux accusations infondées, il affirme sa détermination à protéger son intégrité et celle de son institution académique et sa famille.
Ce récent événement soulève des questions sur l’éthique journalistique et le respect des faits, un rappel nécessaire pour tous les professionnels des médias.
Clemy
