La pluie diluvienne qui s’est abattue dans la nuit du 26 au 27 Octobre sur Libreville, a fait d’importants dégâts matériels. Entre inondations et éboulement plusieurs familles sont dans le désarroi. Du côté de Nzeng-Ayong, derrière la barrière de la cité de la démocratie, comme à dragage ou à la cité Mebiame, dame pluie a inondée plusieurs habitations qui par sa fréquence pluviométrique fait redouter le pire dans les tout-prochains jours.
Au pk8, cette pluie qui a duré toute la nuit a entraîné des glissements de terrain et l’éboulement d’habitations. Aucune perte en vie humaine n’est à déplorer mais d’importants dégâts en matériels et une angoisse stressante comme chez cette policière retraitée Pauline Ivora qui a pu être épargnée pour le moment grâce aux racines d’arbres derrière son habitation qui ont pu retenir la masse de terre glissante. Une situation qui devrait dans une moindre mesure sonner l’alarme et interpeller les plus hautes autorités afin de reloger ces derniers pour que les catastrophes comme celles recemment vécues avec la disparition de 7 personnes ne se reproduisent plus.
Il se pose donc ici une question humanitaire, l’Etat se doit de prendre des mesures préventives en recasant ces personnes avant que le pire ne resurvienne.
Le Chef de l’Etat et son épouse s’étant rendus au chevet de la famille éplorée pour témoigner de leur soutien avait donné des instructions fermes pour recenser puis reloger tous les habitants vivants dans cette zone à risque au pk8.
Une opération de recensement déjà en cours se devrait de prendre en compte ces nouveaux rescapés du déferlement de dame pluie.