Après avoir organisé avec succès le Gala de boxe arabe en Juin dernier, le Cameroun a récidivé tout recemment en accueillant la deuxième édition de ce tournoi, aujourd’hui considéré comme majeur.
En effet, le championnat de boxe arabe qui s’est déroulé dans la ville de Douala au Cameroun et qui a enregistré la participation de quatre(4) pays à savoir l’Egypte, le Tchad, la Tunisie et le pays des lions indomptables qui a, par ailleurs, abrité la compétition, était sensé recevoir 11 délégations venues des pays differents, cependant, certaines n’ont pas pu se faire représenter.
Ce championnat professionnel d’arts martiaux dont la supervision était assurée par le gabonais Eric Richard Ella Bekale, entre autres, président de la fédération Africaine et des îles de Boxe Arabe (FAIBA), qui a, par la même occasion, tenu toutes ses attentes, prend tout doucement mais surement ses marques dans le concert des grands évènements mondiaux en terme de sport de combat.
Les compétitions de sport de combat sont de plus en plus pratiquées sur le continent noir et les combattants africains présentés par fédérations ne déméritent pas eux aussi, au contraire, ils developpent des performances lors des tournois mondiaux. Cette prouesse est essentiellement dûe aux entrainements archarnés et aux compétitions de qualité auquels ils prennent part à l’échelle nationale et continentale à l’instar de ce Gala de boxe arabe en terre camerounaise.
Ce genre de tournoi, est un challenge propice qui donne l’occasion au compétiteurs de se mettre en jambe à l’approche des écheances de très haute intensité notamment les jeux olympiques de paris qui auront lieu dans moins de deux ans.
À titre de rappel, la boxe arabe est un sport de combat qui associe coups de pieds, et différentes techniques de saisies. C’est un art martial qui s’est développé au fil des temps, avec la création en 1990, de la Fédération internationale de la boxe arabe (FIBA)
Wilfried. A